Pourquoi je ne peux pas encore être remplacé par une IA générative
Ce contenu a initialement été publié sur mon compte LinkedIn le 25/02/2025.
4 raisons pour lesquelles je ne peux pas encore être remplacé par ChatGPT.
Petit exercice de pensée pour professionnels remplaçables par une « IA »…
Sur le papier, mon expertise est remplaçable par la dernière IA générative à la mode.
(Comme celle de nombreux professionnels de la rédaction web et de la communication en général.)
Dans les faits, j’en doute fortement.
Contrairement à une IA :
- Je n’ai pas besoin d’un prompt ultra-détaillé pour savoir quoi faire.
Avec mes clients historiques, on valide juste le sujet à traiter et je m’occupe du reste.
En bonus : mes neurones me permettent d’avoir un regard critique sur la demande. ChatGPT est un prestataire, je suis un partenaire. - Je ne me contente pas d’assembler des contenus pillés sur le web.
Mes sources sont diverses : entretiens avec des experts, forums, expérience personnelle, vidéos, podcast, articles de blog, livres de référence… - Je sélectionne soigneusement mes sources et vérifie chaque information, a fortiori si elle est importante.
Quitte à me coltiner des études scientifiques sur la biochimie de la bière ou des textes de loi sur la propriété intellectuelle. - Je sais faire des liens entre deux contenus publiés par mon client, même sur des supports différents. Entre un article de blog et une vidéo ou un épisode de podcast, par exemple.
Surtout, je sais anticiper les ponts à créer avec les futurs contenus. C’est ce qu’on appelle travailler le maillage interne.
Il y a probablement de nombreuses autres raisons, mais c’est déjà pas mal.
En revanche, il y a deux points sur lesquels je ne battrai jamais l’IA : la vitesse et le prix.
Mais ça ne fait pas tout, loin de là.
D’ailleurs, un client me confie la réécriture et l’humanisation des contenus produits par son agence SEO et générés par une IA… 🤷
